@alinea
Ce qui est absolument sûr c’est que toute molécule à trois francs six sous, utilisée depuis des décennies et connues sous toutes les coutures qui s’avérerait avoir des effets significatifs sur la maladie ou la létalité serait le cauchemar de toute l’industrie pharmaceutique, qui n’a déjà aucun intérêt à les tester, mais un intérêt bien compris à ne pas les inclure dans la moindre étude pour ne serait-ce qu’invalider l’hypothèse de leur effet bénéfique sur le SARS-Cov2.
Le but premier de cette industrie n’est nullement de soigner mais de vendre à profit maximal.On l’a vu dans le passé avec le refus d’accepter la vente de génériques pour la tri-thérapie contre le SIDA.
D’où les protocoles torchés en Europe pour l’HCQ et l’arrêt des études à la première occasion (les deux études bidons sur la toxicité cardiaque).
Il n’y a aucun intérêt industriel à soigner les gens avec des médicaments ne coûtant rien. En quelle langue faut-il le dire ?
Aucun complot, c’est le fonctionnement normal du système qu’ils ont créé. Il serait suicidaire pour Big Pharma de soigner les gens avec des molécules anciennes ne coutant rien et voilà tout.Et quand on n’essaie pas de tester les milliers de molécules déjà génériquées sur le virus, la probabilité de trouver quelque chose est faible, pour le moins.
D’où le discours ambiant, qu’il n’y a rien à voir et qu’il faut circuler (enfin aller se faire piquer).