Legestr glaz Legestr glaz 7 février 2021 15:26

@Eric F

C’est faux ! C’est très étonnant de vous voir persister dans cette voie sans prendre en considération ce que dit la physique des nanoparticules, de la dynamique des fluides ? 

Le SARS-COV2 est un virus respiratoire (que l’on respire donc) aérosol (contenu dans les aérosols donc). 

Je ne savais pas que cela pouvait être si compliqué à comprendre ? 

On peut ne pas savoir les choses et avoir, en conséquence, « une fausse opinion ». Mais, lorsque l’information nous parvient, ce serait le comble de la stupidité que de l’ignorer. 

Je poste à nouveau mon commentaire, que, visiblement, vous n’avez pas lu.

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Ecoutez, il y a tant d’explications partout sur le port du masque en milieu médical que cela devient lassant d’apporter ces preuves là. Et tout ceci est « parfaitement connu ». J’ai écrit un article documenté sur le sujet, dont voici un extrait :
«  Si les masques sont d’une « certaine » utilité en milieu hospitalier, pour se protéger de certains agents pathogènes, c’est parce qu’ils sont portés selon un protocole bien précis, bien particulier et très rigoureux. Il est probable que 99% de la population ne respectent pas ces protocoles contraignants. Ceci veut dire que le port du masque, en population générale, est totalement inefficace pour lutter contre la propagation des virus respiratoires aérosols comme le coronavirus covid19. C’est d’ailleurs ce que valide un rapport, du 25 septembre 2015, du Haut Conseil de la Santé Publique – HCSP-, dans son point 2.1, « état des connaissances sur les masques » en cette forme : « Dans la prévention de la grippe saisonnière, l’analyse des sept essais, qui constitue le plus haut niveau de preuve atteignable pour l’évaluation de ces interventions, ne met pas en évidence d’efficacité des masques respiratoires en population générale ».(2). Il est question, vous l’aurez remarqué, « du plus haut niveau de preuve atteignable » 
Ces règles sont parfaitement connues de tout le monde médical. Il existe d’ailleurs, dans tous les hôpitaux de France, des Comités de lutte contre les maladies nosocomiales -CLIN-. Au sein de ces structures, il est parfaitement identifié que les masques sanitaires ne protègent pas de la propagation des virus respiratoires aérosols. Ils protègent contre de nombreux agents pathogènes mais pas contre les virus respiratoires aérosols »…

L’article est ici, avec ses pièces jointes, il suffit de suivre le guide ! 

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-pere-noel-et-les-masques-226713

Le « problème majeur » vient du fait que l’on a fait « croire » à un large public, par l’intermédiaire des médias dominants, que les virus respiratoires aérosols se propageaient par les « gouttelettes » et les « crachats ». Mais ce moyen de transmission, même s’il existe, est un mode absolument mineur de transmission des virus respiratoires aérosols. Un mode totalement bénin et aléatoire ! 
Comme son nom l’indique, le SARS-COV2 est un virus respiratoire aérosol. Trois mots « virus » — « respiratoire » — « aérosol » -, trois mots à prendre en considération si on veut comprendre la supercherie !
Le SARS-COV2 est en suspension dans les nanoparticules de l’air et il est « contaminant » parce qu’il est « respiré » parce qu’il est « inhalé » ! Et il est de si petite taille que si vous êtes infecté il passera la barrière du masque pour se mettre en suspension dans les airs. Et vos voisins, qui porteront le masque, respireront cet air contenant les virus. Et ceux ci passeront la barrière de leur masque pour les contaminer ! C’est ça la « réalité » qui nous est cachée ! C’est pour cette simple raison de « taille » des virus et de leur présence dans les « nanoparticules » que les masques sont inutiles en population générale ! 


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