Étirév 6 mars 2021 03:00

Pierre Boule était un visionnaire.
Il avait bien cerné le problème humain, et le vrai sens de l’évolution de l’humanité qui est l’antithèse du darwinisme.
Il savait que les premiers hommes n’étaient pas les fils des singes, pas plus d’ailleurs qu’ils n’étaient le vieil Adam des théologiens fait de toutes pièces par un Dieu inconnu.
Il avait compris que ces deux chemins inverses qui avaient été suivis pour nous expliquer les origines, révèlaient les grandes faiblesses humaines.
Il savait que l’homme livré à ses instincts plus qu’à sa raison, s’enfonçait dans une voie décroissante qui lui donne des caractères physiques qui le rapprochent de l’animal, de l’Anthropoïde. Il avait donc compris que c’est pour cacher cette vérité que l’homme s’était mis soudain à affirmer que le singe est son ancêtre, pour justifier cette ressemblance.
D’autres, depuis des siècles, connaissaient et enseignaient cette vérité psychologique que l’homme livré à ses instincts se rapproche de la brute. Il n’y a que le Darwinisme qui ait nié cette vérité, et l’ai renversée.
Aussi, en considérant simplement le degré de débauche atteint aujourd’hui par nos élites masculines, et l’état de déchéance et d’ignorance atteint par les masses, on est forcé d’affirmer une loi toute contraire à celle de la théorie Darwinienne, mais parfaitement en accord avec le roman dystopique de Pierre Boulle : l’homme qui s’abandonne aux impulsions de sa nature, c’est-à-dire qui agit selon la sélection naturelle, cet homme-là ne vient pas du singe, il y va.
Demandez à George Taylor !


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