@moderatus

La démocratie, c’est pas le gouvenement dans le sens de l’intérêt général.

C’est un argument de légitimation des hommes au pouvoir qui sont présélectionnés avant de pouvoir se présenter aux élections, par exemple avec le programme Young Leaders.

La démocratie peut marcher dans des ensembles de petite taillo comme la commune, parce que tout le monde connaît ls candidats et connait les tenants et les aboutissants des décisions à prendre. Ca peut aussi marcher à une plus grande chelle comme les cantons suisses avec leurs votations.

En France, ça supposerait impérativement 1°) que les médias soient absolument libres et pluralistes, 2°) que les candidats ne soient pas d’abord sélectionnés par un parti, une franc-maçonnerie ou une ONG étrangère comme Youg Leaders ou Bilderberg. Pour préselectionner les candidats, il faudrait la réserver aux maires pour les députés, aux maires des préfectures et sous-préfectures pour la présidence de la République. 3°) que les moyens de communication soit exactement égaux et gratuits pour tous les candidats.

Si la démocratie se définit par les contre-pouvoirs, il faut au minimum appliquer la séparation des pouvoirs en interdisant aux hauts fonctionnaires et aux magistrats d’être élus députés, maires, président de la République, et de cumuler leurs fonctions avec une autre fonction publique ou privée rémunérée. Ceux qui voudront passer dans le privé devraient démissionner définitivement, avec interdiction de travailler dans le secteur de leur ancien ministère ou dans des entreprises dont ils ont eu à s’occuper. Un certain nombre d’emplois comme ministre, secrétaire d’État, directeur d’une administration centrale,... interdiraient à vie de travailler dans le privé, pour éviter la corruption payée après la fin des fonctions par des emplois fictifs comme François Fillon qui est payé à ne rien faire comme conseiller d’un fonds d’investissement vautour, alors qu’il cumule des retraites de haut-fonctionnaire, premier ministre et député, + ce qu’on ne sait pas.