@alinea
Sinon, où certains voient une provocation, il y a quelques interrogations.
La principale : dans un monde où de plus en plus d’objets sont issus d’une procédure normalisée, où on disposera peut-être un jour de robots pour tout fabriquer, chaque objet aura un nom canonique : le code qui a permis de le produire.
Les archivistes sérieux font déjà en sorte que leurs productions codables (texte, carte, musique ?) soient enregistrées avec les caractéristiques de l’engin qui permet de les reproduire.
Je rappelle aussi les tentatives de breveter le vivant, qui n’étaient pas d’actualité à l’époque de Bergson.