Fanny 7 avril 2021 14:40

@Fergus

« la concomitance de la carrière des grands compositeurs classiques avec les périodes de « colonisation » et d’« esclavagisme » !

 

Prétextes sans intérêt. Ils trouveront d’autres arguments tout aussi ridicules pour détruire, éradiquer tout ce qui relève du génie de l’homme blanc.

Le projet marxiste d’éliminer la classe bourgeoise dominante au profit du prolétariat a échoué, du moins en Occident, à cause des Russes principalement qui ont « bu le communisme comme le buvard boit l’encre ». C’est la raison pour laquelle on les déteste à ce point : ils ont tué l’espérance en l’homme nouveau pour un monde meilleur, universel, unifié .

Après ce terrible échec, c’est reparti dans la recherche d’un « homme nouveau pour un monde meilleur ». Tout le monde s’y met sous l’ombrelle du progressisme : les gauchistes, les banquiers, les écologistes, les antiréchauffistes, les minorités, les prétendus antiracistes, les macronistes derniers en date …

Cette alliance bizarre des banquiers avec les éradicateurs pour un dépassement du capitalisme peut surprendre. Elle était déjà en germe du temps de Lénine et Trotski. Cela renvoie à la passion de l’universel, possible héritage de la religion chrétienne (katholikos).

L’obsession est toujours la même : fabriquer un homme nouveau, uniforme, soumis, sans passions ni agressivité, sur une planète unifiée gouvernée centralement via des normes et un contrôle juridique facilité aujourd’hui par tous les outils modernes de flicage.

D’où vient cette obsession d’un monde apaisé, unifié ? Je crois qu’il vient, outre de la chrétienté, de la prime enfance, du souvenir du sein maternel. L’homme va régresser, avant de disparaître. « L’homme nouveau » est un homme mort.


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