@pemile
Pas payé, comme je vous l’ai dit, à l’époque (1960), les Frenchies avaient la cote en Angleterre.
C’est l’une de mes interlocutrices, qui, quelques jours après, alors que nous avions noué des relations plus étroites, m’avait signalé ma bévue.
En fait, mon auditoire avait été beaucoup plus amusé que choqué de ma remarque.