La
Marseillaise n’en veut pas :
«
Quoi ! Des cohortes étrangères
Feraient
la loi dans nos foyers !
Quoi
! Des phalanges mercenaires
Terrasseraient
nos fiers guerriers ! (Bis)
Dieu
! Nos mains seraient enchaînées !
Nos
fronts sous le joug se ploieraient !
De
vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées ! »
(Couplet 3)