@Philippe Huysmans, Complotologue

"Le problème c’est surtout qu’on a plus de chances de mourir des effets secondaires du vaxxin que du covid, et ce au moins jusqu’à 80 ans"

La réciproque est alors qu’au delà de 80 ans se vacciner serait préférable à attraper le covid, dont acte.
C’est contradictoire avec l’hypothèse que le vaccin serait l’épouvantable poison décrit dans ton article, car l’effet délétère serait pire sur les gens fragiles que sur les gens robustes.
C’est également l’indication que la surmortalité des plus âgés provient de l’infection, pas seulement d’un effet moisson.

Concernant l’âge ’’à risque’’, par rapport à la tranche des moins de 50 ans, la tranche des 65-74 ans a 7 fois plus de risques de décès covid, la tranche 75-80 ans 10 fois, et plus de 80 ans 16 fois C’est net à partir de 65 ans, à quoi s’ajoute la question des comorbidités à risque (diabète, etc.).

Pour les catégories ’’non à risque’’, la vaccination nous est présentée comme destinée à conférer une ’’immunité de groupe’’ pour résorber la contamination, mais cette notion est peut-être chimérique compte tenu des propensions de ce virus à muter (on le constate par exemple aux Seychelles, mais ils utilisent surtout un vaccin classique à virus atténué).

Et après, malheureusement, le système immunitaire ne réagit de toutes façons pas au vaxxin.

Il faudrait alors que les tests sérologiques attestent de l’absence d’anticorps, or c’est le contraire : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMc2103916
extract : antibodies that were elicited by mRNA-1273 (vaccin moderna) persisted through 6 months after the second dose, as detected by three distinct serologic assays