jjwaDal jjwaDal 23 mai 2021 13:13

@Vercassivellaunos
On sait très bien qu’un médicament génériqué efficace contre le SARS-Cov2 et ne valant que quelques centimes le comprimé, serait une catastrophe pour l’industrie pharmaceutique. Cela représenterait une perte de marché désastreuse. Le système est conçu ainsi : nouveau médicament ou vaccin, gros profits et comme le but de l’industrie privée ne peut être que le profit et non la préservation des comptes du NHS ou de la SECU, on a ce qu’on a.
Collectivement notre avantage est bien sûr le médicament connu depuis 30 ou 50 ans et ne valant rien mais pour avoir délégué la santé au privé on voit bien qu’il fera tout (coûte que coûte) pour trainer dans la boue et discréditer en amont un médicament comme l’HCQ ou l’Ivermectine. Il en va de leur chiffre d’affaire et de leurs profits.
Il se trouve que l’Inde est le dos au mur et a peu de moyens pour gérer plus d’un milliard d’humains. Elle semble donc prête à faire ce que les fabricants de candidats vaccins font avec les pays riches, à savoir une expérience « scientifique » à grande échelle in vivo.
Si ça marche, les tribunaux vont avoir du travail, car la mise en danger de la vie d’autrui en autorisant le doliprane et interdisant HCQ et Ivermectine ne repose pas sur la science. On peut se tuer avec le doliprane en vente libre. Or là on parlait de prescription médicale interdite aux médecins généralistes.


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