jjwaDal jjwaDal 6 juin 2021 18:24

Je ne suis nullement contre le principe de vaccins obligatoires pour des maladies très contagieuses, très létales, handicapantes, etc, dès lors que les vaccins ont été testés et prouvés sûrs et offrant un rapport bénéfices/risques très favorable.
Ici on a une maladie moyennement contagieuse (si, si...), peu létale (si, si...), des candidats vaccins d’un nouveau genre, jamais testés sur l’humain et qui en plus en sont encore en phase d’expérimentation.
Depuis quand vaccine-t’on des gens qui ont une chance absolument infime de développer la maladie, avec un rapport bénéfice/risque négatif ? Pour préserver l’espérance de vie des plus de 75 ans nous dit-on en gros. Risquer notre avenir collectif pour préserver notre passé ? Sérieusement.
Quand aura-t’on le recul pour juger que ces nouveaux vaccins sont sûrs ? Beaucoup trop tard, puisqu’au rythme où vont les choses, l’essentiel de la population des pays riches aura été cobaye d’une expérience qui n’est pas la première.
On peut se retrancher pour réconfort derrière l’idée que des gens bien plus intelligents que nous ont soupesés les risques et ne joueraient pas aux apprentis-sorciers avec une fraction significative de l’espèce humaine. Sûrs de ça ?
Souvenons-nous des OGMs. Le postulat scientifique fondateur de la transgenèse et de son déploiement à grande échelle s’est avéré complètement faux (un gène code pour une protéine et pas de rétroaction). On sait maintenant que les végétaux objets de transgenèse produisent bien plus qu’une protéine (de méduse, de scorpion , etc...) mais seule une maladie nouvelle d’apparition très rapide pourrait pointer le coupable.
Qu’une maladie nouvelle apparaisse 15 ans plus tard (alors que l’ogm n’existe probablement plus), ou qu’une maladie déjà existante voit sa prévalence augmenter (diabète, autisme, cancers, etc...) on a tous les outils pour ne jamais pouvoir imputer la faute à l’ogm qui en serait la cause.
Comme dans ce cas d’école, on avance donc avec des certitudes de pacotille, on joue avec la roulette russe, en espérant qu’il n’y aura pas d’échantillon témoin pour montrer que les « non vaccinés » font pas ceci ou cela.
C’est une façon de se couvrir, une voie royale aussi pour se crasher à échelle planétaire si on s’est trompé. Plus con tu meurs. Je me demande d’ailleurs s’il y a plus con que cette volonté d’uniformiser les comportements et les pratiques face aux inconnus d’une nouvelle maladie.

Le paradoxe est qu’on nous brandit les essais en double aveugle comme le standard achevé d’une bonne pratique scientifique et que tout le monde a confiné (moins epsilon), tout le monde impose le masque dans la rue, ou même en intérieur hors cadre hospitalier avec malades, tout le monde récuse l’efficacité de l’HCQ ou l’Ivermectine, tout le monde veut vacciner tout le monde, ce qui assure un bon niveau de certitude qu’on ne pourra prouver avec certitude que c’est de la foutaise et de la religion.


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