Legestr glaz Legestr glaz 7 juin 2021 18:37

@JMBerniolles

Bonjour JMBerniolles. Sachez que j’apprécie vos interventions très professionnelles ici sur Agoravox concernant l’énergie. N’hésitez pas à le faire, je pense que nous sommes nombreux à apprécier vos éclairages. Je dois avouer que je n’y comprends pas grand chose et qu’il m’est utile d’entendre un autre son de cloche, le vôtre, qui permet de faire de bonnes mises en perspective. 

Effectivement, il a été interdit aux médecins de soigner, et ceci dès les premiers symptômes. Pourtant, certains d’entre eux, surpris de leur succès initiaux dans la lutte contre le SARS-COV2, « naïvement », ont voulu faire savoir que leur pratique et les soins qu’ils donnaient à leurs malades avaient un succès considérable. 
Il s’est agi de ces 3 médecins mosellans. Il s’est agi de cette femme médecin, Sabine Paliard Franco, près de Grenoble. Mais que faisaient-ils exactement pour obtenir de tels succès, de telles guérisons ? Et bien ils soignaient leurs patients à l’aide d’antibiotiques de type macrolides et de zinc. Des antibiotiques macrolides comme les médecins en utilisent pour lutter contre les pneumonies et « dès les premier symptômes ». 

Le journal du médecin du 17 avril 2020 relate ces succès. Mais, comme l’affaire était « politique », le conseil de l’ordre des médecins a rappelé « à l’ordre » ces « dissidents » qui ne respectaient pas le protocole et qui prescrivaient des antibiotiques macrolides pour soigner d’un virus. Ce qui, selon l’académie, ne se fait pas. En revanche, selon une communication de l’Institut Pasteur de Lille, ce ne sont pas les virus qui « tuent » les malades mais les « sur-infections » consécutives à l’attaque virale. Et ce sont bien les antibiotiques qui tirent d’affaire les malades dans ce genre de situation. 
« La principale cause de mortalité de la grippe en France n’est pas le virus lui-même, mais les surinfections bactériennes. Celles-ci sont particulièrement actives chez les personnes dont l’organisme est fragilisé. Mieux protéger et traiter les personnes” à risque”, c’est donc tout l’enjeu des recherches sur les surinfections bactériennes post-grippales. »
https://www.pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/

Tout ceci mériterait de finir devant des tribunaux. Parce qu’à l’évidence, le refus de soigner les malades à l’aide d’antibiotiques de type macrolides à entrainer vers la mort de très nombreuses personnes fragilisées par la sur-infection. 

Parce que l’ivermectine agit comme un antibiotique, que cette molécule est absolument efficace pour détruire les bactéries, il faudrait en avoir une boîte de réserve au cas où une alerte de gale se présenterait. 


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