Legestr glaz Legestr glaz 14 juin 2021 10:47

@Ecométa

La « santé » entre guillemets, est une affaire commerciale. L’industrie pharmaceutique a réalisé durant les 20 dernières années 1000 milliards d’euros de profits ! 
https://www.asso-malades-thyroide.fr/wordpress/index.php/2019/01/24/1000-milliards-deuros-de-profits-en-vingt-ans-comment-les-labos-sont-devenus-des-monstres-financiers/

L’industrie pharmaceutique ne cherche plus à soigner les gens mais à développer des molécules qui seront vendues au plus grand nombre de personnes. C’est la « rentabilité » qui est recherchée pas la santé des gens. 

Et je peux vous préciser quelque chose. Les fameuses « recommandations » alimentaires, pour être en « bonne santé » sont fausses ! Il est question, dans celles ci, de retirer 40% à 60% de son énergie des glucides (rapides ou lents, simples ou complexes). C’est une erreur « monstrueuse ». Même en considérant l’index glycémique de ces glucides, même en considérant la charge glycémique de ceux-ci, ce pourcentage est totalement déraisonnable. Je suis en train d’écrire un livre sur le sujet. Paraitra, paraitra pas, je ne sais pas encore. 

Je reprends un extrait d’une communication mise en ligne par un intervenant d’Agoravox qui est très explicite (texte de l’année 2009 !) : 

Une bulle naît quand un certain nombre de conditions sont réunies : augmentation durable de la valeur d’un groupe d’objets, négligence du caractère cyclique de l’évolution de cette valeur, opacité du système d’évaluation, conflits d’intérêts entre les experts et les objets évalués.
 Spéculation et mimétisme collectif sont les deux derniers rouages de la constitution d’une bulle qui surestime la valeur et s’auto-entretient jusqu’à sa rupture, généralement brutale.

 La médecine remplit toutes ces conditions : le progrès médical croît depuis plus d’un siècle et de mémoire d’homme, personne ne l’a vu régresser.
 L’évaluation de la médecine, des médicaments et des stratégies de prévention est devenue suffisamment opaque pour être incompréhensible par la majorité des patients et par de nombreux professionnels de santé.
 L’industrie pharmaceutique a fait fortune grâce aux prescriptions des médecins.
Elle finance désormais leurs formations, leurs experts, leurs recherches, leurs accès à l’information professionnelle.
 La dilution de l’éthique et de l’indépendance médicale dans les capitaux industriels se conjugue à l’imprudent désengagement des pouvoirs publics de ces secteurs.

De nombreuses stratégies médicales, médicamenteuses où non, sont plus délétèresque bénéfiques.
 Jules Romains était visionnaire quand il brocardait dès 1923 la « médecine moderne » du Dr Knock.
   L’université médicale et l’hôpital sont devenus une gigantesque « Knock Academy »
tandis que la médecine humaniste s’éteint sous les coups de boutoir conjugués de la normalisation sclérosante et de l’inflation administrative sanitaire.


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