En notre époque où la décroissance de la consommation dans
de nombreux domaines devrait être la première des exigences des partis
politiques, Rakotoarison fait de “l’écologisme électoral“ ou de “l’écologisme
politique“ une sympatique viellerie qui prête à sourire.
Pour l’auteur, le fait que “le catastrophisme“ de Dumont
n’ait pas encore produit les catastrophes annoncées - ou qu’elles aient pris
une autre forme que celle qui était annoncée - montre que l’erreur de Dumont
était dans le fait de ne pas vouloir l’écologie dans le développement
économique.
Les islamo-“écologistes“, composante très active de l’actuel
islamo-gauchisme, pourraient ajouter qu’il aurait dû la vouloir dans une
islamisation accélérée de la France.
Rako devrait ajouter très explicitement : On n’arrête pas
le régrès !