@Gégène
On peut faire le choix
(on l’a fait hélas !) de détourner la tête lorsque des êtres humains sont
exposés à des persécutions. Heureusement, ce n’est plus le cas depuis que les
Etats ont signé la convention de 1951.
Autre est la question
de veiller à ce que les procédures mises en place pour sauver les gens des
persécutions, ne servent pas à autre chose. Notamment lorsque les textes sont
détournés de leur objet. Et que des failles
apparaissent avec le temps, qui sont exploitées, comme les avantages liés au
statut, par la voie du mensonge et de la
duplicité. Il faut alors adapter la législation. Ce qui est plus efficace (ou
le serait si les gouvernants avaient l’esprit un peu plus alerte) que les
habituelles jérémiades sur la perversité des fraudeurs.