Michel DROUET Michel DROUET 21 juin 2021 19:39

@Captain Marlo
Vous avouez donc avoir mélanger sciemment des chiffres concernant les économies sur le mille feuille territorial qui était, rappelons le le sujet de mon article et les précisions que je vous demandais et des économies potentielles après la sortie de l’UE.
Merci de cette franchise.

voici votre réponse à ma question :

Réforme territoriale  proposée par l’UPR : une réduction drastique du «  millefeuille  » administratif par la suppression de 4 209 postes d’élus,

Réduction du nombre de députés de 577 à 500, ...(et des attachés parlementaires qui vont avec).

Suppression des 74 députés européens. Par la sortie de la France de l’Union européenne.

Réduction du nombre de sénateurs de 348 à 101, soit 1 par département... ce qui équivaut à la suppression de 247 postes de sénateurs (et des attachés parlementaires qui vont avec).

Retour aux 22 Régions de France métropolitaine d’avant la réforme Hollande... soit la suppression des 1 757 postes de conseillers régionaux.

Division par 2 du nombre de conseillers départementaux, soit la suppression de 2 054 postes de conseillers départementaux.

Maintien des 35 885 maires et l’arrêt des regroupements forcés de communes

 

Des économies formidables pour alléger les charges et impôts de l’ordre de 78,7 milliards d’euros par an


Économies budgétaires résultant de la réduction du millefeuille administratif  : 6,4 milliards d’euros par an. Économies sur le nombre de députés nationaux  : 38 millions d’euros par an.

Économies sur le nombre de députés européens  : 45 millions d’euros par an.

Économies sur le nombre de sénateurs  : 131 millions d’euros par an.

Économies sur le nombre de conseillers régionaux  : 75 millions d’euros par an.

Économies sur le nombre de conseillers départementaux  : 62 millions d’euros par an.

Économies sur le périmètre de la région (avant 1982)  : 6 milliards d’euros par an.etc etc

à laquelle j’ajoute le complément indispensable à la compréhension issu du programme de l’UPR  :

"Des économies formidables pour alléger les charges et impôts de l’ordre de 78,7 milliards d’euros par an

Économies budgétaires résultant de la sortie de l’UE  : 13,6 milliards d’euros budgétaires par an. Économies directes  : 9 milliards d’euros par an de déficit fiscal budgétaire (chaque année, la France contribue pour 23 milliards d’euros au budget européen, et s’en voit restituer 14).

Économies sur les cofinancements et les condamnations pécuniaires  : 4,6 milliards d’euros par an.

52

Recettes budgétaires supplémentaires résultant du rétablissement du contrôle des mouvements de capitaux  : 20 milliards d’euros par an. Lutte contre la fraude fiscale  : 20 milliards d’euros par an...

53

Économies indirectes pour l’économie française résultant de l’allégement des réglementations et contraintes européennes... estimées à environ 38,7 milliards d’euros par an. Économies indirectes sur le coût d’application des normes européennes pour les administrations publiques  : 8,7 milliards d’euros par an.

Économies indirectes sur le coût d’application des normes européennes pour les entreprises  : 30 milliards d’euros par an."

Il manquait donc les points 51 à 53 à votre réponse pour expliquer les fameux 78, 7 Milliards d’économies et on comprend bien pourquoi, parce que vous vous êtes plantée dans les grandes largeurs dans votre réponse.

Mais prise la main dans le pot de confiture, vous n’avouerez jamais vous être plantée ou au pire avoir manipulé les chiffres en édulcorant certains points du programme de l’UPR


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