Géronimo howakhan Géronimo howakhan 7 juillet 2021 13:58

Salutations, merci..

hum, nous choisissons la compétition entre tous pour le vie pratique physique. La survie comme disent ceux qui refusent cet absolu qu’est la mort..C’est un choix, il y en a d’autres....on les refuse.

Celle ci élimine, est guerres, enfin toutes les saloperies humaines par choix et habituelles

c’est un combat, il va nécessairement créer maître(s) et esclaves, soumis etc mais aussi des crimes, vols, destructions enfin la totale..la complète beurre , œuf jambon et fromage comme on aime en Bretagne..

Alors pourquoi venons nous tous gueuler ou pleurer des effets de nos choix...et ne rien vouloir changer en nous en profondeur, nous devrions avoir la décence de la fermer je pense, d’observer ce qui se passe , de regarder avec attention vers la source du désastre, en nous !! 

Ah oui euh !! mais là non , tu rigoles mec, moi responsable à cause de mes choix, ; mais tu n’y es pas du tout, le probleme c’est les autres...

apprendre, observer, regarder avec acuité et remonter à la source du mal , en nous, mais non même pas .

Notre mental est facile à voir...regardons TOUT ce qui se passe sur cette planète, c’est faisable en peu de secondes et nous voyons notre mental, enfin précisément la pensée analytique un programme qui se prends pour un « humain », seule capacité encore en marche, les autres sont en pannes depuis des millénaires, parlons en à Adam et Eve...ils sont au courant eux ! la pensée les a mis en panne, ce fut là aussi un choix...tout ceci est vain..petit mot de Bossuet et de Étienne de la Boétie encore merci.

-"Mais Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je ? Quand on l’approuve et qu’on y souscrit."Jacques Bénigne Bossuet..

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Discours de la servitude volontaire de Étienne de La Boétie

Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas les vôtres ? A-t-il pouvoir sur vous, qui ne soit de vous-mêmes ? Comment oserait-il vous assaillir, s’il n’était d’intelligence avec vous  ? Quel mal pourrait-il vous faire, si vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous-mêmes ?


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