@pipiou2

Déjà se plaindre de la vaccination avec « nos impots » ; à ce compte-là on ne soigne pas non plus les malades, puisque c’est avec « nos impots ».

Ne tombez pas dans l’inversion accusatoire, s’il vous plait. Je ne me plains pas, c’est les vaccinés qui, selon notre gouvernement,

pourraient se plaindre de payer des tests PCR avec leurs impôts. Je ne fais que retourner dialectiquement l’argument pour montrer à quel point il ne manque pas d’air.

De même dire « nous avons perdu beaucoup d’argent » est un peu gonflé quand on sait tous les aides qui ont été versées.

Manifestement, vous ne savez pas ce que c’est qu’une profession libérale qui a perdu la moitié de son chiffre d’affaire sur l’exercice 2020.

La grippe de 2017 a fait beaucoup moins de dégâts, même en « normalisant » avec la pyramide des âges, seule 2015 s’est un peu approchée des décés de 2020.
Dire que le pic du printemps 2020 est dû aux babyboomers et pas au virus n’est pas très sérieux non plus.

Avez-vous regardé les démonstrations méticuleuses de Décoder l’Eco ? Pouvez-vous les contester sérieusement ? Si oui, merci. Si non, ne soyez pas aussi péremptoire.

Mais surtout le discours anti-vieux est dérangeant, à la limite de l’eugénisme.
Et puis 25% des morts ont moins de 75 ans, c’est « très vieux » 75 ans ?

Discours « anti-vieux » ? Mais où avez-vous lu cela ? Là encore, vous êtes dans l’inversion accusatoire. Je ne fais que me défendre contre la minorité de personnes âgées (et / ou vulnérables) qui réclament au reste de la population de sacrifier leur liberté, leur bien-être, l’avenir de leurs enfants, parce qu’ils ont peur pour leur propre vie. Autant cela pouvait se justifier lors de la première épidémie (et encore...), mais maintenant ces personnes peuvent se faire soigner plus efficacement et ont accès au vaccin. Il n’y a donc plus aucune raison de vouloir imposer des restrictions totalitaires à la majorité (en fait, il y a une raison : servir d’instrument de chantage pour imposer la vaccination et gonfler les dividendes des grands labos).