Bonjour, Alexandre
Désolé, mais vous vous trompez de combat.
Qu’il y ait privation de libertés, c’est une évidence. Personne ne le nie.
Mais cette privation de libertés — temporaire — est liée à un impératif : écarter le risque d’un nouveau confinement qui ne serait pas accepté par nos compatriotes pour éviter une saturation des structures hospitalières, et notamment des urgences et des services de réanimation.