Vous faites peu de cas des effets secondaires à moyen et long terme. Apparemment, votre belle-mère ne vous insupporte pas assez pour que vous ne tiriez pas d’espoir plus grand des injections qu’elle a reçues que la tendance à rester scotchée au frigo. Lisez Lesgards, vous verrez qu’on écarte soigneusement des discours officiels les hypothèses d’effets secondaires graves dont le cancer. Dans ce cas que je ne souhaite pas, ayant aussi une famille, celui de votre belle-mère ne vous consolera pas de beaucoup d’autres.

N’ayant pas beaucoup exploité le confinement pour explorer les connaissances en biologie, je vous relaie la synthèse la plus claire que j’aie lue (merci @Leypanou). Le simple bon-sens permet de poser la question : on agite beaucoup le drapeau des risques à long terme du covid ; pourquoi pas celui des effets à long terme des injections ARN à adjuvants inconnus (narcolepsies chez les Danois à l’épisode H1N1) ?

Vous parlez de la conception informatique de molécules complexes. Que pensez-vous de l’affirmation rencontrée je ne sais où (a priori « Futura ») que les programmes de type IA sont plus performants que le programmeur humain pour écrire le programme qui prédit comment ces molécules se replient et interfèrent avec leur environnement ?