@bonsoir moderatus

Je ne veux pas vous laisser écrire que je suis un homme qui défend l’immigration contrainte.

Si vous me relisez, vous ne trouverez pas de citation de ma part pour l’intégration d’une immigration non désiré, mais au contraire, stopper cette immigration et permettre leur retour, mais pas de manière violente. Seulement, ce n’est pas possible avec le système actuel.

Il existe 2 grand motifs d’immigration, celle volontaire, désiré et celle contrainte, soit pour raison économique soit pour raison politique. Je remarque juste que la 1ère est généralement très bien acceptée, car l’immigré vient pour s’intégrer, alors que l’autre est rejetée, car l’immigré importe sa culture et coutume et plus l’écart est grand, plus le rejet être fort. Après, tout dépend des moyens que l’on se donne pour permettre l’arrêt et le retour de cette immigration. Je ne fais donc pas partie de ces « grands coeurs » dont vous parlez, je dis seulement qu’il faut agir sur les causes et non sur les conséquences. Et qu’il faut choisir entre la guerre ou la paix, la haine ou la fraternité, la justice ou l’iniquité.

De là, soit vous partez de la réalité présente, c’est à dire, la réalité de l’économie mondialisé (qui est un fait et non une théorie) et de l’interdépendance des pays, soit vous l’ignorez et faites comme la pseudo extrême gauche actuelle et de l’extrême droite, qui prônent toutes les deux le retour à la réalité du monde du XIXème siècle avec la pseudo souveraineté nationale par réaction aux sois disant mondialistes, (mais qui oubli que la France a perdu son avance et avantage économique et technique). Sauf que cela implique le passage par une phase chaos très violente et où vous devez vous poser la question de savoir si vous êtes prêt à en passer par là.

J’ai écris un article sur l’antimondialisation, vous pouvez le lire si cela vous dit. Tout comme j’ai écris un article sur la relation de causalité entre la compétition et la coopération et qui affirme que l’humanité n’a que deux alternatives, soit faire face à la réalité de son niveau de connaissance/conscience et qui impose la coopération au dessus de la compétition, la responsabilité au dessus de la propriété, soit le refuse et avec pour unique conséquence une violente régression avec une phase chaos tout aussi violente.

C’est la France qui est intégré, fait partie du monde, pas l’inverse, sauf dans l’imaginaire.

L’humanité est donc face à un problème de cohérence entre sa connaissance et sa conscience de son environnement. Le déni qui en découle, porte sur le fait que vous ne pouvez plus penser le monde du point de vue de la France, mais la France du point de vue du monde et ce n’est pas penser comme l’élite dominante, qui reste dans le mode de pensée fondé sur la primauté de la propriété, mais au contraire, implique de mettre la responsabilité comme ordre directeur, devant la propriété.

Sans cette prise de conscience, c’est le chaos qui finira pas s’imposer.

Le proverbe dit « qui sème le vent récolte la tempête », mais qui sème la tempête, récolte l’ouragan. Ce n’est pas tout à fait la même échelle et la question est alors de savoir si vous y êtes prêt ?