Quidam 3 août 2021 16:04

Bonjour
Je parle aux réveillés, les autres je les ignore.

La question est : comment faire sortir les proches de l’hypnose ?
Elle est centrale.
D’autant plus que c’est très inconfortable d’en sortir et de se rendre compte du désastre.
« Comme si vous aviez pris un cachet pour bien dormir et qu’on vous réveille à 3h du matin pour vous dire que la maison brûle.
C’est très désagréable. »
Dans ce monde, on tient les gens par l’émotion, qui occulte la raison.
Cherchons des moyens de leur ouvrir les yeux.
Aidons-nous pour cela des savoirs comportementaux.
Dans la résistance, existe t-il déjà des groupes de réflexion qui abordent la contre-offensive sous cet angle de vue ? - merci de vos réponses.
Nous savons que l’affrontement plus ou moins argumenté est contre-productif, le déni étant plus puissant que la raison.
Ça déchire les familles, tout comme les discussions politiques lors des repas.

Alors, puisqu’on nous maintient dans l’émotionnel, utilisons l’émotionnel :
Je ne suis pas père poule, mais chaque témoignage d’enfant abîmé par l’injection me fait pleurer, de rage et de tristesse. Et je tremble pour ma fille trentenaire et mes proches qui sont injectés.
Car les enfants, les jeunes ne risquent rien et ne transmettent rien et accepter dans ces conditions un seul effet secondaire grave est un crime. Sans compter les probables effets à long terme à venir.
Cela nous concerne tous, vaccinés ou non.

Faisons circuler au maximum de l’information, des liens qui recensent des témoignages d’effets secondaires sur des enfants, des jeunes adultes, les mesures en préparation sur les contraintes aux écoliers à la rentrée, sur tout sujet concernant les enfants et les jeunes.

Faire appel à cette fibre émotionnelle là n’est pas un procédé indigne, le danger est réel, l’information doit éclater : cette injection tue et mutile des jeunes qui n’avaient aucune raison d’être injectés.
Au risque d’être ridicule, insulté, taxé de complotisme ou autre.
Suspendons notre jugement, ne répondons pas, n’essayons pas de convaincre, n’entrons pas dans la polémique. Tout cela est contre-productif, énergivore et déprimant. Ça ne marche pas.
Insistons sur ce sujet uniquement, avec bienveillance.
Aucun parent n’a le droit moral de refuser ce débat.

Dans le lot, les quelques personnes qui auront très désagréablement pris conscience de la réalité ne retourneront pas en arrière et seront d’autant plus vexées d’avoir été trompées qu’elles combattront à leur tour avec énergie.
Elles dérouleront la pelote, feront leurs recherches et se feront une opinion d’elles-même, comme nous l’avons tous fait. Le tout est d’ouvrir une brèche, que ces personnes acceptent de regarder avec lucidité le décalage entre la réalité des faits et la perception qu’on leur en donne.
Une fois prise la douche froide, elles feront leur chemin dans le constat de ce décalage, probablement très en colère…
Nous sommes déjà très nombreux, et si chacun arrivait à ramener une personne à la réalité, nous serions le double.
L’exponentiel ferait le reste (2x2x2…)
Je rêve peut-être, j’essaie de me débattre, de garder espoir, de ne pas rester à rien faire, j’ai 4 enfants, les boules merde…


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