@chantecler
Bonjour.
Vous faites bien de re-signaler que les fabricants ont exigé d’être « non responsables » en cas de problèmes plus tard. Incroyable mais vrai. inédit. S’il y a un problème plus tard, c’est le contribuable qui payera et non le fabricant. Cette exigence est déjà entrée en pratique avec les « couacs » d’Astrazeneca très tardivement interdit. Impossible de se retourner juridiquement contre « GILEAD », la société mère (condamné un grand nombre de fois par le passé pour trucage et escroquerie). Et dans cette affaire Astrazeneca, les avocats des plaignants (décédés, infirmes ou en longue maladie) se retrouvent face à un mur : 
=> Frais de soins payés par le contribuables et les mutuelles : OUI.
=> Indemnités (perte d’emploi, d’entreprise, de mobilité ou autres handicaps, etc.) payées par le contribuable : NON.
Pourquoi NON ?
Parce que les plaignants ont été VOLONTAIRES pour se vacciner.
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Voilà qui explique pourquoi le gouvernement a refusé la vaccination obligatoire proposée par l’opposition, par le PS et par les Républicains.
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Conseillé par l’agence américaine « MacKinsey » (grassement payée par nos impôts, avec Victor Fabius comme Directeur associé),
le pouvoir a préféré instaurer une « soft dictature » hypocrite et liberticide pour « emmerder au maximum les français » (dixit eux-mêmes + exemple édifiant des terrasses de café) afin que ceux-ci deviennent « VOLONTAIRES » pour ces vaccination expérimentale « roulette russe » dont des milliards d’êtres humains ont froidement servi de cobayes.
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A cela s’ajoute, ne l’oublions pas, la totale opacité des contrats léonins, contraire au droit administratif français... Car, en sus de l’impunité contractuelle, ils peuvent augmenter les prix comme ils veulent sans que le Parlement n’ait son mot à dire. Du jamais vu depuis les Etats Généraux antérieurs à la Révolution de 1789.
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Une fraction des propositions des « Bouledogues de la République » présent dans tous les partis parlementaires :
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« Tout va bien Madame la Marquise. Dormez en paix. Et vous, les gueux, taisez-vous, payez vos taxes et impôts, puis dégagez. Il n’y a rien à voir ».
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Dansons la carmagnole, vive le son vive le son,
Dansons la carmagnole, vive le son du clairon 
(à la place du « canon », un peu trop Bonapartiste)
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Qu’un sang impure abreuve nos sillons
remplacé par
qu’un idéal unisse notre(nos) Nation(s)
Moins sanglant et moins « raciste ».
Au singulier pour les 1% de « patriotes frexiteurs »
Au pluriel pour les « patriotes réformistes » (français et européens favorables à une Europe protectrice des Nations, de Gibraltar à Vladivostock, un peu plus nombreux)