D’’abord, il faudrait s’entendre sur ce qu’on appelle un sémite !

Ceux qui se sont penchés sur ce problème, s’accordent à dire qu’un sémite ne peut être originaire que de Palestine, ou du Moyen-Orient. Mais les sémites peuvent être juifs ( séfarades ), chrétiens ( syriaques ), ou musulmans ( comme tous les palestiniens, n’en déplaise à la LICRA ).

Ceux qui ont un nom à consonance russe ou allemande et parlent yiddish, sont des ashkénazes, qui peuplent Israël à 95 %, et qui ne peuvent pas revendiquer le retour en « Terre promise », vu qu’ils n’en sont jamais partis !

Pour moi l’antisémitisme, c’est le fait de s’en prendre aux sémites palestiniens, ces musulmans qui se sont vus spoliés de leurs terres ancestrales, et qui se retrouvent dans leur propre pays, enfermés dans des ghettos à Gaza ou en Cisjordanie !

Mais de ça, la LICRA n’en parle pas.

Dernier point : d’après le Centre Simon Wiesenthal, qui a scrupuleusement répertorié les victimes de la Shoah, il n’y avait que 9 % de sémites parmi-elles !

Je ne sais pas si le Conseil Constitutionnel a été consulté pour cette Loi qui, au mépris de la langue française, considère que s’en prendre à un juif, c’est être antisémite ! Mais ça mérite au moins une procédure pour rectifier la définition exacte du terme « sémite » !

Par-contre, ça permet à Israël de massacrer à loisir les palestiniens, puisqu’ils ne sont même plus sémites, d’après la Loi française, ce qui est une véritable honte pour notre pays !