le journaliste québécois Jean Balthazard, infiltré durant trois mois dans la sphère complotiste montréalaise (lien), a raison, lui qui constate que « la caractéristique des [mouvements complotistes] est la violence envers ceux qui ne pensent pas comme eux. »  :

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combien d’éborgnés parmi les victimes de la violence des mouvements « complotistes » ?

En tout cas, l’auteur, vous êtes en bonne compagnie avec Caroline Fourest et Thomas Huchon entre autres pour la dénonciation des mouvements « complotistes ».

Et puis c’est tellement facile de traiter de complotiste quiconque dérange son petit confort intellectuel ou son biais idéologique.