Legestr glaz Legestr glaz 24 août 2021 18:42

@pemile

Les prix Nobel, effectivement, ne vont pas manquer. Tous ces producteurs d’injection ont réalisé l’exploit du siècle : l’injection qui est efficace contre tous les coronavirus présents et à venir. Cela mérite, effectivement, plusieurs prix Nobel.

Les meilleurs anticorps sont ceux produits par l’immunité naturelle. Mais, il semblerait que cela ne soit pas suffisant : il faut encore injecter cette personne pour qu’elle ait droit à son « passe-sésame » : cela s’appelle donc « de la science » ? Les prix Nobel se bousculent au portillon ! 

Il est une chose qui mute beaucoup plus vite que le virus, c’est le discours politique et médiatique à propos du vaccin.
D’abord, il était efficace à plus de 95%, n’avait aucun effet secondaire, et il empêchait l’infection et la transmission.
Puis son efficacité a été revue à la baisse.
Puis on a découvert qu’il n’empêchait ni infection ni transmission.
On nous a alors dit qu’il empêchait seulement les formes graves et qu’il permettait d’atteindre l’immunité de groupe.
Puis on a vu s’accumuler des déclarations d’effets secondaires nocifs mais les « autorités » nous ont assuré qu’il n’y avait aucun rapport de cause à effet.
Puis on a reconnu du bout des lèvres qu’il y avait en effet des effets nocifs (myocardites/AVC/zonas/allergies..) mais qu’ils étaient statistiquement négligeables.
Puis on a découvert que l’efficacité baissait rapidement, au point qu’il faut injecter une 3ème dose au bout de 8 mois.
Puis on a découvert que la pandémie flambait dans les pays les plus vaccinés (Israël, Islande, Seychelles, Royaume-Uni…).
Puis, les autorités de ces pays ont commencé à déclarer que l’immunité de groupe ne pouvait pas être atteinte par le vaccin mais par l’immunité naturelle.
Puis on a découvert des double-vaccinés qui souffrent de formes graves et même en meurent.


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