Massada Amanite phalloïde 26 août 2021 08:23

La solution était… géographique.

     

Il suffisait en fait de positionner nos avions lanceurs de missiles au sud-est de Beyrouth afin de neutraliser totalement le dispositif de Poutine.
  
Si les Russes avaient tiré des S-400, ils auraient survolé la capitale libanaise. S’ils avaient manqué leurs cibles, ce qui aurait été le cas - nous avons d’excellentes raisons de penser que la technologie des missiles de Poutine a une voire deux générations de retard sur les contremesures israéliennes -, les S-400 se seraient abattus sur Beyrouth et auraient tué des dizaines de Libanais.

  

Et l’opinion publique mondiale aurait très mal pris que les militaires de Poutine tuent des civils innocents, déjà malmenés par une crise économique abominable.
  

En choisissant l’emplacement du duel, les experts israéliens ont simplement - ça a même l’air trivial après coup ! – empêché les Russes d’empêcher leurs pilotes d’agir.

   

L’armée d’syrienne a tiré des grappes de dizaines de missiles de tout calibre et de tout modèle. Surtout des vénérables S-200. Même sur les avions qui opéraient dans le ciel libanais. Mais dans tous les sens, certains ont atterri au Liban, d’autres, sur la frontière israélo-jordanienne, à 120km plus au Sud.
  

Mais bon, les fusées aux mains de l’Armée d’Assad n’intègrent pas de technologie qui, même du point de vue strictement théorique, pourrait abattre un objet volant israélien. A part par hasard ou suite à une gigantesque faute d’un pilote israélien.


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