@perlseb

Avec cette histoire de placer les composants, vous me rappelez le temps où l’algorithme n’était supérieur à l’homme que pour le routage seul (une fois la disposition des composants définie).

Si je comprends bien, vous parlez des réseaux de neurones. Il y a aussi des algorithmes à apprentissages dont le comportement est prévisible.

En tout cas, je crois comprendre grâce à vous cette info lue chez futura sciences : l’IA arrive à prévoir comment se replient des molécules complexes, ce que l’homme ne sait pas faire. Le journaliste n’avait pas précisé qu’il s’agissait de réseaux de neurones. Et comme vous le dites, on n’explique pas comment ces systèmes donnent leur résultat, pas plus qu’on ne sait s’il est correct (j’ai retenu qu’ils s’arrêtent dès qu’ils ont atteint un « pic » (un optimum local), sans être sûr qu’il n’y a pas de « pic » plus élevé.

Si c’est le cas, je comprends vos doutes exprimés plus haut sur l’opportunité de se fier à ces systèmes pour renforcer notre immunité.