Intéressant cet article, mais je ne crois pas à l’éclair de lucidité que l’auteur évoque en conclusion.
Pour que l’humain évolue dans ses croyances, ses idéologies, ses pratiques de consommation numériques et matérielles, il faut un ou des facteurs externes, des méga-contraintes. Et même en présence d’un facteur de disruption comme le covid, on voit bien que le troupeau préfère le comportement grégaire le plus absurde à une remise en cause des certitudes faciles proposées par les pouvoirs et les médias à leur service.
C’est d’ailleurs ce qui rend la crise sanitaire actuelle si intéressante à suivre, c’est un révélateur très efficace.