LeMerou 9 octobre 2021 16:25

@L« Auteur.

L’abolition de la peine de mort n’est pas sécurisée, la constitution à été modifiée pour intégrer l’abolition, elle peut être réintégrée de nouveau.

Dans une société évoluée la peine de mort ne peut pas exister !

Ha bon ? Car c’est plus »évolué« de condamner une personne à vivre en prison à vie. A mener pendant 10, 20, 40 ans une vie infernale, humiliante, destructrice. C’est très humaniste, effectivement ! C’est plus machiavélique, beaucoup plus dans l’esprit de vengeance d’en faire baver la personne un maximum pendant le restant de ses jours.

Sans compter évidemment la charge pour la société.

Pour moi, c’est bien pire que la peine de mort, c’est plus beaucoup plus diabolique, et quand »ils« sortent, que sont ils réellement ?

Des êtres complètement déphasés par rapport à la société dans laquelle »ils« replongent, si pour une infime minorité, la »punition« semble avoir été comprise et cherche le restant de leur vie à se réintégrer, c’est vite tirer un trait sur la mémoire, il est vrai que cette dernière n’est pas le for du moment et pour les autres »ils« vont errer le restant. Détruire la vie d’un être humain par la prison à vie ! D’ailleurs beaucoup sont libérés avant, le terme perpétuité n’ayant cours que dans le dictionnaire.

A mon sens traiter des êtres humains de cette manière déshonore beaucoup plus une société.


La peine de mort n’est pas la justice, c’est une des condamnations possible. Le coupable est jugé et condamné à mort. La notion de vengeance n’a absolument rien à voir avec cette condamnation.

Qui tue, meurt ! Une fois sa culpabilité prouvée. Quelque en soit le mobile, c’est une notion simple, que cela soit prémédité ou pas, quelque soit l’âge de la victime, la peine de mort pour des crimes sur les enfants peut on entendre, lire ? Les autres vies ne valent rien alors.

La peine de mort n’a jamais été dissuasive ! La perpétuité non plus.

Est brandit en dernier recours l’erreur judiciaire, avec quelques erreurs célèbres criées haut et fort par les ardents défenseurs de l’abolition. Ont tolère la mort par erreur dans beaucoup d’autres domaines, ont y trouve même des circonstances atténuantes, mais surtout pas par la justice.

C’est vrai que parfois le mougeon bêle, après un reportage sur les conditions de détention, et de suite après le dit reportage, une pub sur le dernier smartphone à la mode et le mougeon se précipite.

Le débat sur la peine de mort est éternel, depuis sont abolition, qui est le fruit non pas d’une volonté populaire, mais de deux hommes soit disant »humanistes"



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