On seras si bas, museau contre terre, après les ravages sociétaux de Pipomann, que, être VERT, signifieras, bouffer les pissenlits par la racine.
En dehors de toute considération idéologique ( quoique, en ce domaine, tout est lié, les idées vertes, font florès en incongruité existentielle )
Il reste à démontrer, que passer au VERT, ne nous foute pas AU ROUGE, pour de bon, à deux doigts des flammes de l’enfer économique.
La VERDITUDE, c’est un peu comme les moulins à vent, que tiennent les gamins dans les mains. C’est amusant tant qu’on souffle dessus, mais cela lasse rapidement, et le choix entre la barbe à papa, et l’artifice tourneur/éssoufleur, ma foi, ne laisse aucun doute.
Alors se baser sur du vent, pour réajuster une économie laminée....
Il en faudra des souffleurs invétérés.... Mais bon, notre Pipomann, à largement contribué pendant son quinquennat, à vider les cibloulots, pour y créer des courants d’air, totalement propices à ce genre d’illusions.
Nous passerons en voltigeant, d’un « moulin à ventS, en manche de chemise » à un « moulin à VENTS », pâle comme une endive, jamais exposée à la lumière de la réalité de ce monde.
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