Étirév 30 septembre 2021 04:26

Allah, Elohim, Brahm, Ptah et les autres... Dieux.
Dans tous les Livres sacrés, on expliquait la Cosmogonie.
Dans ces primitives Cosmogonies, on expliquait le mécanisme de l’Univers par l’action d’une force émanant des astres incandescents. Cette force n’est autre que le dynamisme inhérent à la radiation des astres, surtout du soleil, dont l’action est la plus puissante sur la terre, puisque c’est l’astre le plus rapproché de nous.
Cette force reçoit dans toutes les langues un nom qui est presque toujours une onomatopée, c’est-à-dire un mot qui représente imitativement une force.
Chez les Hindous, c’est « Brahm ».
Chez les Egyptiens, c’est « Ptah ».
Cette radiation solaire n’est pas seulement une force, c’est un principe chimique. La radiation est un courant d’atomes d’oxygène, qui génère la lumière blanche qui nous éclaire.
Mais cette force radiante ne vient pas seulement du soleil ; elle vient aussi des étoiles, qui sont multiples et rayonnent dans l’espace sept autres principes chimiques qui génèrent les sept couleurs du prisme. Telle est l’origine du Septénaire.
Le principe radiant, considéré comme force cosmique, a été appelé :
Chez les Phéniciens : Ilus ; El ; Elion.
Chez les Chaldéens : Ilaï ; Ilah.
Chez les Assyriens : El ; Ilu.
En Arabie : Il ; All ; Allah.
Enfin chez les Hébreux : Elohim, mot qui est le pluriel de Eloha. Le premier verset du Sépher (La Genèse), si mal traduit, dit :
« Berechith bara Elohim eth ha chamaïm veeth ha aretz ».
Traduction : « En principe les Elohim ordonnent ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la terre ».
Si ce mot est mis au pluriel, c’est parce qu’on savait qu’il n’existe pas une force cosmique, mais qu’il y en a plusieurs.
Et, d’abord, on expliquait ce qu’est une force cosmique en montrant que c’est le principe actif qui entretient la combustion des astres incandescents, lequel est transporté dans l’espace par les radiations astrales. On le représentait par un point dans un cercle : ⊙
Chez les Grecs, la puissance cosmique est appelée Ouranos ; son nom vient de Varouna, un des noms hindous donnés à la même puissance et dont la racine var signifie couvrir.
DIEU ? à ne pas confondre avec le Grand Architecte de l’Univers, Mâ El-Bannâ.


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