@ l’auteur
Le principe indiscutable que vous rappelez « ...La comparaison internationale des taux de prélèvements obligatoires n’a de sens que si on met en balance les prestations qu’ils permettent... » doit s’appliquer à la fiscalité des entreprises. Une analyse honnête « bénéfice pour les entreprise/richesse nationale » est un préalable à la conclusion.
Sans dogme bien sûr.