Bonjour, Pale Rider
Merci pour ce très bel article !
J’ai de Brassens et du regard qu’il portait, tant sur lui-même que sur nous tous, la même image : celle d’un poète qui jamais ne se poussait du col, celle surtout d’un entomologiste bonhomme qui a observé en détail ses semblables, et mis en chansons leurs comportements d’une manière bienveillante, et cela jusque dans les flèches décochées ici et là à quelques-uns.
Plus que la plupart des Académiciens, Brassens restera un « immortel », un créateur dont on continuera d’étudier les textes et les musiques dans des siècles.