La différence entre les deux : c’est que l’un était ’’bourré’’ de tranquillisants et que Ségolène y est allé naturellement avec ce que l’on peut imaginer de stress.
Je trouve ce genre de débat stérile, dans la mesure où il est impossible aux candidats de pouvoir rester eux-mêmes : la pression étant trop forte.
Les journalistes n’ont pas fait leur travail, qui aurait été de tenter de détendre l’atmosphère : j’ai remarqué que ppda avait même accentué ce climat à l’intention de Ségolène Royal : à chaque fois qu’elle semblait se détendre, il lui coupait la parole brutalement ; et ces 2 ou 3 oeillades de réconfort à N.Sarkozy m’ont confortée dans l’idée que ce ’’journaliste’’ ne jouait que pour sauver sa place.
L’auteur  est ridicule dans son descriptif des détails de look. Vous imaginez, si nous aussi nous nous mettions à disséquer votre portrait photographique : vos lunettes tombantes et votre sourire carnassier !