jjwaDal jjwaDal 13 janvier 2022 16:57

Il nous faut prendre les armes, mais intellectuelles, vu que l’Etat a le monopole de la violence gratuite. On est gouverné par des incompétents notoire mais pas des fous, donc ils savent comme nous que le dernier variant en date du SARS-CoV2 a mis quelques jours seulement pour passer de l’Afrique du Sud en Europe et aux USA. Seul un moyen de transport peu accomplir un tel exploit et c’est l’avion (intouchable) et les vaccinés qui seuls avaient le droit d’utiliser ce transport.
L’aviation et les vaccinés sont à l’origine responsables de ces vagues épidémiques, mais rien de rien, ils leur faut un bouc émissaire qui colle à leur agenda qui n’est pas démocratique du tout. Il ne l’a jamais été. La collusion entre la grande industrie, la finance et les Etats remonte loin et ce n’est pas un hasard si nous avons bouffé de l’amiante, du plomb dans l’essence, du DDT, des nitrites et autres cochonneries bien après que la science ait rendu son verdict. Si la santé des gens étaient leur soucis l’hôpital ne serait pas dans cet état, nous aurions eu les outils pour une riposte rapide en hiver 2019 et la planche à billet en cas de coups durs.
La servitude des peuples a toujours été en haut de la liste des priorités pour les gouvernants dont la dernière préoccupation est d’éveiller intellectuellement un peuple qui pourrait avoir des comptes à demander.
Des ripostes s’organisent mais assez marginales : deux médias importants viennent par ex de reconnaître qu’ils ont joué le rôle de porte-voie de la propagande de peur des Etats. Des émissions « alternatives » font déjà bien plus d’audience que les grands médias et pas avec des auditeurs passifs qui seraient là par hasard.
Mais la pieuvre en face à la main mise sur quasiment toutes les ressources et veut le reste, par consentement et par violence.
La précipitation à vouloir criminaliser ce qui hier relevait du choix de chacun alors même que le variant en cours promet de vacciner l’essentiel de la population pour pas un euro, est instructif. On dirait que le temps leur est compté et qu’ils ne veulent pas rater cette fenêtre d’opportunité pour mettre en place la société de contrôle et surveillance, qui contrairement à l’hôpital disposera de toutes les ressources nécessaires.


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