Il y a un vrai problème de compréhension ou de moralité publique. Je pense que tout éditorialiste a le droit , peut-etre le devoir, de dire clairement pour qui il penche. Le Monde l’a toujours fait, depuis Beuve Méry. Le Monde a « massacré » notre candidate (faites Voynet sur son moteur de recherche), c’est son droit.
Là nous discutons de la négociation, entre Sarkozy et Le Parisien, d’un projet de délit puni par la loi, et de la « victimisation » de ce que le délit n’est qu’à moitié commis (sur le site).
Je suis étonné que cela ne vous choque pas.