@troletbuse
De manière générale, le complotisme part d’observations de faits et tendances réels, pour en extrapoler des scénarios fictifs.
Si on considère la première phase, celle des observations, les courants réfractaires (anti-système) mettent en exergue des points qui ne sont pas développés -ou sont occultés- dans les canaux de communication institutionnels (média, autorités...). Cela contribue au pluralisme de l’information et du débat, dès lors que l’on sépare l’observation de l’interprétation qui en est faite : prise de conscience, lancement d’alertes... A chacun de faire son analyse.

A propos de monnaie numérique, cela ne changera pas le fond dans la mesure où dores et déjà la monnaie est fortement dématérialisée, et les comptes peuvent être bloqués (voire leur contenu confisqué, comme à Chypre).
Les compteurs connectés peuvent effectivement être coupés à distance, alors qu’il fallait auparavant l’intervention d’un technicien.
Mais, me semble-t-il, le contrôle social repose surtout sur la collecte et le traitement de données personnelles à partir des réseaux et « comptes » (mobile, internet...), le fichage est dores et déjà possible, et en partie le traçage. Je me défie de l’un comme de l’autre : pas de compte sur les "réseaux sociaux, de stockage de données sur le ’’cloud’’, localisation inactivée, navigateur alternatif, webcam obturée...