Hervé Hum Hervé Hum 8 février 2022 18:11

@Hervé Hum

Appliquons le bon sens causal ou absolu à la démocratie.

La démocratie signifie par définition « souveraineté du peuple ».

Or,par définition, le souverain est celui a qui rien ne peut être caché sans violer sa souveraineté, la réduire à néant. Pourtant, c’est le cas de ce que nous nommons démocratie, puisque acceptant le secret d’Etat, le secret de ce qui motive les décisions, surtout avec la crise du covid alors même que s’agissant de santé publique ce sont tous les citoyens qui sont concernés (indépendamment de leur parti pris). Donc, le peuple en sa totalité.

Ici, le bon sens absolu est formel, tant que la décision politique et ce qui la motive peut être caché au peuple, c’est qu’il ne peut pas s’agir d’une démocratie, sauf dans l’imaginaire et qui donc, ne repose pas sur la réalité.

Pour tromper les citoyens sur la réalité de la dictature, le moyen utilisé est la confusion, en faisant se confondre la réalité avec l’imaginaire qui peut faire croire tout et son contraire, sans aucune autre limite que la réalité. Dans le cas présent on parle de démocratie représentative pour faire croire à la démocratie.

Le hic, c’est que la représentativité ne peut pas se faire du bas vers le haut, donc, du peuple vers les représentants, car c’est ce qu’on appelle une mise sous tutelle, donc, où le peuple a perdu ou abandonné sa souveraineté aux représentants et qui consacre dès lors son immaturité.

En démocratie, la représentation se délègue toujours vers le bas, c’est à dire, sous le contrôle du peuple. Donc, où les représentants ne peuvent rien cacher au peuple sous peine de preuve de conspiration, complotisme des représentants contre le peuple. La représentation ne peut donc être qu’un mandat impératif. Le hic ici, c’est qu’un mandat impératif est rarement celui du peuple, mais quasiment tout le temps celui d’une partie du peuple. Ceci, tant que tous les citoyens ne se sont pas mis d’accord sur le même bon sens. Sauf qu’il existe qu’un seul bon sens pouvant s’imposer naturellement à tous, c’est celui qui est absolu. Et là, il ne suffit pas de le connaître, il faut encore l’accepter, c’est à dire, soumettre son propre imaginaire, bon sens relatif, à celui qui définit la réalité...

La logique des relations de causalité repose sur ses propres fondements, sans cela, il ne serait pas possible d’affirmer que 2 + 2 = 4 pour toute personne ayant le même bon sens logique et de fait, aucune civilisation ayant étudié les mathématiques indépendamment des autres à dit que 2 + 2 = 5 ou autre. Seuls les banquiers l’affirment, mais tout le monde sait pourquoi !!!


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