« maintenant ou dans cinq ans, quelle différence ? »
La différence ? C’est que dans cinq ans, nous n’aurons
plus à voter que pour des présidents de nos eurorégions triés sur le volet, qui
participeront à la désignation du président de l’Europe confédérée.
Pas besoin de référendum pour changer les structures :
le traité de Lisbonne a montré que les décisions de technocrates mis en place
parle monde du business et de la finance suffisait, et c’est pour bientôt.