@Joséphine. Bin, depuis que la C.I.A. a pris le commandement de la direction
Avox, la censure y est devenue bien plus radicale, quoique sournoise. Si
un témoin gênant signale publiquement que les bouses de Rakoto, de
Dugenêt, de la rosemarde, se ramassaient des scores abyssaux, de l’ordre
de -1 à -3, une demi-heure avant d’être précipitamment publiés, il est
discrètement réduit au silence : son mot de passe est dévalidé, et le
demeure à vie. Courriers aux administrateurs : silence en réponse ; la
procédure « mot de passe oublié » n’aboutit jamais...
C’est ainsi que dans le secret, Avox rejoint les rangs de la presse aux ordres.