Après le constat cynique mais lucide de l’état de
décrépitude des organisations politiques que vous présentez en début d’article,
comment pouvez-vous espérer une « prise de conscience » et une action
structurée ?
Autre chose ? Vous écrivez : « et on ne voit pas par quel miracle les vieux (déjà à la retraite), les boomers (qui ont bien profité leur
vie durant, sans en avoir rien à foutre de leur impact de privilégiés sur la planète) et tous les autres bourgeois, possédants, startuppers et fans de MC Kinsey
- et dieu sait qu’il y en a des tonnes… ».
Considérer tous les vieux
comme des privilégiés et mettre une génération sur un plateau, des classes
sociales sur un autre et des idéologies sur un troisième ne permet pas plus de
se livrer à une analyse pertinente que d’additionner des carottes, des lapins
et des chasseurs.