L’auteur de cet article croit défendre et illustrer
une égale attitude de l’islam et du christianisme sur la punition « commandée par Dieu ».
Or il fait très précisément le contraire mais il le
fait, en quelque sorte, avec la complicité de l’Église, laquelle persiste à
attribuer aux chrétiens toutes les
croyances de l’ancien Testament, y
compris celles, criminogènes, contre lesquelles Jésus de Nazareth s’est
engagé jusquà donner sa propre vie.