@uleskiserge
’’...ce qui ne les autorise pas à remettre en
cause le témoignage des victimes’’
Il semble que ce qu’elles mettent en cause est la présomption automatique de culpabilité de celui qui fait l’objet d’une accusation.
La gradation des actes entre drague appuyée, propos graveleux, attouchement, pression/intimidation, et viol fait parfois l’objet de confusion, et par ailleurs l’absence de preuve matérielle rend difficile les suites judiciaires (il faut,sur ce point, inciter au dépôt de plainte immédiat). Parfois à défaut de preuve, il y a un faisceau d’éléments concordants, réduisant la part de doute, sans conduire à l’absolue certitude pour des juges, jurés ou personnes extérieures. Il semble que la présente affaire soit de cette nature.