Joséphine Joséphine 22 juin 2022 02:28

@alinea

Tu interdirais Onfray sur Agoravox ? Bravo à toi Alinéa ! 
« Le naufrage des gilets jaunes » est un texte de Michel Onfray, pas de moi. Toi et tes camarades mélenchonistes vous voulez étouffer la vérité sur les Gilets Jaunes qui ont été anéantis. Mais vous ne pourrez pas cacher le constat de Michel Onfray qui a été publié et lu par tous . Il est un personnage connu, reconnu , et respecté. Toi tu n’es rien. Tu n’es pas plus que moi . Onfray c’est quelqu’un 

Et je sais bien que j’ai aucune chance de passer un texte à la modé avec toi, même si c’était du Chateaubriand ! Je ne suis pas psy, et à vrai dire Alinéa je méprise cette invention juive qu’est la psychanalyse. Soral a beaucoup parlé des dégâts de la psychanalyse dans notre société occidentale . Tu prétends connaitre Soral et Francis Cousin, et pourtant ils font le même constat que Michel Onfray sur les Gilets Jaunes qui se sont faits avoir par TA famille politique. Es-tu sûre de les avoir bien compris ? 

Hé oui Alinéa, je ne suis pas psy et pourtant je décèle en toi un grave problème d’alcoolisme . Je l’ai compris l’autre jour quant tu m’as insultée comme une camionneuse sans la moindre raison avant d’effacer tes commentaires honteux. A mon humble avis, ce n’est pas de la bière, mais plutôt du whisky. Ou du Gin. Bref, un sale poison à 50 degrés qui vérole la peau. Avec moi tu as montré ton vrai visage. Tu es une mauvaise femme. Méchante. Jalouse. Prête à censurer un texte d’Onfray que parce que c’est moi ! 

Et c’est à mon tour de t’insulter Alinéa : en tant que « sale pétasse bourgeoise cliché , inculte et conformiste », je te réponds que tu es une vieille rombière alcoolo-tabagique aux cheveux sales, sans doute nostalgique de la débauche soixante-huitarde hippie-crasseuse et camée, vautrée dans ton véganisme déviant. Tu aimes Raquel Garrido que parce qu’elle est aussi grosse et difforme que toi. Voilà, l’insulte est toujours facile n’est ce pas ?  

Encore merci de m’avoir prévenue de ta censure injuste du texte de Michel Onfray

Adéu


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