« À la coupe et aux lèvres d’une bouche fraîche et souriante,
L’amant affligé puise sa consolation !
Va de bon matin trouver la vierge et la jarre emplie de vin
Et dans le même temps triomphe des deux sceaux !
Alors jouis, dans la béatitude, de tes désirs, car c’est advenu le temps
Où s’ordonne le bonheur comme les perles du collier »