@l’auteur
la dernière phrase
« Je n’entendis pas le reste, car je perdis connaissance, tandis qu’un hurlement de pure horreur s’échappait de ma gorge nouée par le dégoût. »
n’est-elle pas, de mémoire, également empruntée à Lovecraft ?
C’est curieux que vous la fassiez vôtre car je n’arrive pas à éprouver du dégoût à l’idée que l’humain soit un charognard parmi d’autre et je me suis toujours demandé qu’est-ce qui avait pu traumatiser Lovecarft au point de déployer en lui et dans son oeuvre un univers mental aussi complaisement angoissant.