Francis, agnotologue Francis, agnotologue 3 juillet 2022 16:36

Puisqu’il est question de droit naturel, donc de droit en général : tout le monde s’accorde pour dire qu’il n’y a pas de droits sans devoirs. Mais les questions auxquelles il convient de répondre sont : Droits de qui sur qui ? Devoirs de qui envers qui ?

 

Le petit d’homme qui vient au monde n’est pas équipé pour survivre seul. De là découle le droit naturel, càd un ensemble de droits dont le premier est le droit à la vie. Les autres sont à l’avenant. Et ces droits sont garantis par les parents ou la société des humains à laquelle le petit d’homme appartiendra de fait qu’il devra à son tour respecter les droits naturels d’autrui.

 

On peut donc dire que le droit naturel découle de la dette inter-générationnelle laquelle est le fondement du droit naturel. L’État sort de son rôle quand il ne respecte pas le droit naturel des individus. Si le Procès de Nuremberg a interdit les expériences médicales sur les êtres humains, c’est au nom du droit naturel des individus.

 

Bakounine a écrit : « Si les savants ne peuvent pas faire des expériences sur le corps des hommes individuels, ils ne demanderont pas mieux que d’en faire sur le corps social, et voilà ce qu’il faut absolument empêcher »

 

Or nous avons vu l’État imposer une expérience de vaccination à tous les individus, dans l’intérêt du corps social. La question est : dans quelle mesure l’État peut-il violer les droits naturels des individus au nom du corps social ? Dit autrement : l’argument de l’intérêt collectif est de la foutaise dès lors qu’il conduit à violer les droits individuels.

 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe