Dans le monde des affaires il y a toujours eu des échanges de cadeaux ou de bons procédés. En l’espèce, le futur président a eu le courage et l’honnèteté de ne pas dissimuler, comme les autres, ses actes. Un premier pas vers la décomplexation et un premier coup de pied au syndrome de l’aisance honteuse.

Quoi que l’on en pense, c’est un atout majeur pour la France que le futur président soit lié aux créateurs de richesses et aux pourvoyeurs d’emplois et surtout qu’il l’affiche officiellement afin de leur redonner fierté et envie de s’impliquer, de faire des efforts et des compromis pour la réussite d’un programme de sauvetage du pays.

C’est peut être ce qui evitera à notre pays de sombrer dans le tiers mondialisme comme nous en avons déjà pris le chemin.

L’on ne résorbe pas le chomage et la dette en copinant avec les fauchés et en chassant entrepreneurs et capitaux, les obligeant à s’expatrier à l’étranger.

Il n’y a ni militantisme ni soutien partisan dans ces propos. Juste logique et bon sens commun.