« En effet, un
simple « protectorat » n’offrirait aucune garantie pour les Européens. »
Ce n’est pas ce que ces mêmes « Européens » ont
pensé pour le Maroc et la Tunisie où la politique de peuplement n’avait pas été
la même. On peut remarquer en passant que pour ces deux pays, contrairement à
ce que croyait, Ben Badis, un protectorat n’est pas forcément une « nation
démocratique » ou, en tous cas, ce statut ne semble pas y mener
automatiquement.